là où le vent nous mene
toi, ami qui t'es perdu et que nous ne tentâmes pas de sauver car tu ne le souhaitais pas, nous t'avons regarder partir, érant, trainant ton âme meurtri par tan de pourquoi aux reponses inconnus. Je sait que tu es là quelque part mais comme tu as su si bien nous le dire il est un temps où il est trop tard pour revenir !
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