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jean20 le 22/05/2020 à 12h09 | En complément, il a ce blog et cet article http://therapie-spirituelle.e-monsite.com/pages/chakra/les-5-chakras-superieurs-trans-personnels-multidimensionnels.html qui peuvent compléter vos connaissances sur le bouddhisme et les chakras. |
lululu75 le 17/04/2020 à 00h43 | Bonjour à tous, je tenais profiter de ce forum pour y présenter notre boutique bouddhiste https://la-statue-bouddha-shop.com/. Vous pourrez également retrouver un blog dédié au bouddhisme sur ce même site où vous apprendrez de nombreuses anecdotes sur le bouddhisme. En guise d'introduction, je vous propose un petit texte sur le bouddhisme ci-dessous (en espérant qu'il suscite des réactions). Religion bouddhiste : Croyances et pratiques de base Les doctrines de base du bouddhisme primitif, qui restent communes à tout le bouddhisme, comprennent les "quatre nobles vérités" : l'existence est souffrance (dukhka); la souffrance a une cause, à savoir le désir et l'attachement (trishna); il y a une cessation de la souffrance, qui est le nirvana ; et il y a un chemin vers la cessation de la souffrance, le "chemin octuple" des vues justes, de la résolution juste, du discours juste, de l'action juste, de la subsistance juste, de l'effort juste, de l'attention juste et de la concentration juste. Le bouddhisme décrit la réalité en termes de processus et de relation plutôt qu'en termes d'entité ou de substance. L'expérience est analysée en cinq agrégats (skandhas). Le premier, la forme (rupa), fait référence à l'existence matérielle; les quatre suivants, les sensations (vedana), les perceptions (samjna), les constructions psychiques (samskara) et la conscience (vijnana), font référence aux processus psychologiques. L'enseignement bouddhiste central du non-soi (anatman) affirme que dans les cinq agrégats, il n'y a pas de moi ou d'âme indépendante et immuable. Tous les phénomènes se produisent en interrelation et en dépendance de causes et de conditions, et sont donc sujets à un déclin et à une cessation inévitables. Les conditions occasionnelles sont définies dans une chaîne de 12 membres appelée origine dépendante (pratityasamutpada) dont les liens sont : l'ignorance, la prédisposition, la conscience, la forme du nom, les sens, le contact, le désir, la saisie, le devenir, la naissance, la vieillesse et la mort, d'où à nouveau l'ignorance. Avec cette vision particulière de la cause et de l'effet, le bouddhisme accepte la présupposition pan-indienne du samsara, dans laquelle les êtres vivants sont piégés dans un cycle continu de naissance et de mort, avec l'élan de renaissance fourni par les actions physiques et mentales précédentes (voir karma). La libération de ce cycle de renaissance et de souffrance est la transcendance totale appelée nirvana. Dès le début, la méditation et l'observation des préceptes moraux ont été le fondement de la pratique bouddhiste. Les cinq préceptes moraux de base, appliqués par les membres des ordres monastiques et les laïcs, sont de s'abstenir de prendre la vie, de voler, d'agir de manière nonchalante, de parler à tort et à travers et de boire des substances toxiques. Les membres des ordres monastiques suivent également cinq autres préceptes : s'abstenir de manger à des heures inappropriées, de regarder des divertissements profanes, d'utiliser des guirlandes, des parfums et d'autres parures corporelles, de dormir dans des lits hauts et larges et de recevoir de l'argent. Leur vie est en outre régie par un grand nombre de règles connues sous le nom de Pratimoksa. L'ordre monastique (sangha) est vénéré comme l'un des "trois joyaux", au même titre que le dharma, ou enseignement religieux, et le Bouddha. Les pratiques laïques telles que le culte des stupas (tumulus contenant des reliques) sont antérieures au bouddhisme et ont donné naissance à des pratiques rituelles et dévotionnelles ultérieures. |